Pacôme Sweet Homme

Un SDF sympatoche, par solitude, en vient à discuter société et politique avec … un pigeon TRÈS cynique !

fuites 2011/04/11

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Libération : Jean-Louis Borloo, le patron du Parti radical, s’émancipe du parti présidentiel pour construire une confédération centriste, et a fait un pas vers la présidentielle. Passé au Parti radical, l’ex-porte parole de l’UMP, Dominique Paillé renvoie au «parti majoritaire» et à Nicolas Sarkozy la responsabilité d’une «hypothèse du type 21 avril à l’envers»: Ils «s’enferment dans un autisme qui est absolument incompréhensible en droitisant un discours», balance-t-il sur Canal+, jugeant «logique» que l’émancipation de Borloo aille de pair avec sa candidature. On est arrivés à un moment où des sensibilités importantes ne se sont plus senties chez elles», invoque aussi, sur RMC et BFM-TV, l’ex-secrétaire d’Etat, Rama Yade, qui quitte aussi l’UMP, ce vendredi, après avoir rejoint la Rue de Valois, fin 2010, à sa sortie du gouvernement.

 

 

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Balle au centre 2011/01/03

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Villepin, centre,électeur,candidat,2012,Hervé Morin,  Nouveau Centre, François Bayrou,  Modem,Jean-Louis Borloo,  Parti radical valoisien,candidature, élection présidentielle,UDF, 20MNQui sera le meilleur candidat du centre-droit en 2012?  Depuis la fin des élections régionales, les manœuvres s’amplifient autour d’une candidature de centre-droit lors de la prochaine élection présidentielle. Jean-Pierre Raffarin estime que François Bayrou devrait «réfléchir à un retour au sein d’une majorité présidentielle élargie». Hervé Morin, le président du Nouveau Centre, ne cache plus, lui, ses ambitions pour 2012: porter les couleurs de son parti. En coulisse, on s’agite également du côté de Jean-Louis Borloo, dont une éventuelle candidature en 2012, aurait les faveurs de l’Elysée. Pourquoi une telle ébullition? «Parce qu’on a vu aux élections régionales qu’il y avait un espace politique vierge politiquement, occupé auparavant par l’UDF ou le MoDem, avant qu’il ne se gauchise», avance Eric Bonnet, directeur d’études pour BVA. «Beaucoup vont donc essayer de combler cet espace», assure-t-il. Et si Nicolas Sarkozy semble ouvert à cette hypothèse, c’est qu’il a compris que la stratégie du parti unique ne fonctionne pas à tous les coups. «Au régionales, les électeurs de centre-droit qui voulaient sanctionner le gouvernement n’avaient le choix qu’entre le FN et l’abstention, ils ont choisi l’abstention», rappelle le directeur d’études de BVA. Une candidature de centre-droit serait donc une «réserve de voix».

 

Printemps de bourges 2010/06/02

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L’Express

 

 
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